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AVANT DE SURFER SUR CETTE PAGE, L'HISTOIRE DU MARTEAU ILLUSTRE NOTRE ETAT D'AME ACTUEL FACE AU MONDE QUI NOUS ENTOURE !
PORTE OUVERTE AU STRESS!
AVANT DE SURFER SUR CETTE PAGE, L'HISTOIRE DU MARTEAU ILLUSTRE NOTRE ETAT D'AME ACTUEL FACE AU MONDE QUI NOUS ENTOURE !
PORTE OUVERTE AU STRESS!
 L'HISTOIRE DU MARTEAU !
Un homme veut accrocher un tableau. Celui-ci possède un clou mais pas de marteau. le voisin en a un,que notre homme décide d'emprunter. Mais voilà qu'un doute le saisit, et si le voisin s"avisait de me le refuser? Hier, c'est tout juste s'il a répondu d'un vague signe de tête quand je l'ai salué et il ne m'a même pas regardé. Peut-être était-il pressé? Mais peut-être a-t-il fait semblant d'être pressé parce qu'il ne m"aime pas ! Et pourquoi ne m'aimerait-il pas ? J'ai toujours été fort civil avec lui, il doit s'imaginer des choses. Si quelqu'un désirait emprunter un de mes outils à moi, je le prêterai volontiers Pourquoi refuse-t-il de me prêter son marteau, hein ? Comment peut-on refuser un petit service de cette nature ? Ce sont les gens comme lui qui empoisonnent la vie de tout un chacun ! Il s'imagine sans doute que j'ai besoin de lui. Tout ça parce que Môssieu possède un marteau. Je m'en vais lui dire ma façon de penser, moi ! Et notre homme se précipite chez son voisin, sonne à la porte et sans laisser le temps au malheureux qui lui ouvre de dire un mot, il s'écrie furieux : "Et gardez-le votre sale marteau, espèce de malotrus !
de PAUL WALTZLAWICK -"Faites vous-même votre malheur" Ed.Seuil
 LE COMMENCEMENT !
Je vous ai promis de parler du stress, pas n'importe lequel, le mien, ce petit bout de moi-même, "mon stress à moi " peut-être différent du vôtre, puisqu'il m'appartient, mais que je vais essayer de partager dans cette page. Ce n'est pas un sujet facile à aborder, voire même un sujet tabou pour certains.
Alors qu'est-ce qui m'a poussé à le décrire, à le développer, à le montrer ?
Je vous avoue que j'aime aller profondément dans les choses, marcher de l'avant malgré mon tempérament de nénuphar baignant dans son "eau tranquille"...
Pour moi, il y a toujours une explication pour qu'un sujet ou un thème surgisse de notre inconscient et se matérialise pour un objectif précis : il s'agit alors de démontrer ce que le stress m'a apporté de pire comme de meilleur.
J'ai beau me dire que je dois me contenter de vivre comme tous les êtres vivants, satisfaire mes besoins fondamentaux, me reproduire, bref, bien me cadrer dans le monde animal, bien répondre à cet instinct ancestral de survie
mais non! il faut que je me démarque justement, pour mon épanouissement personnel, pour affirmer mon existence, pour m'apercevoir que mes exigences sont de plus en plus ambitieuses, de plus en plus profondes.
Me croiriez-vous si je vous dis en ce moment même que le stress a dû se bagarrer avec moi depuis longtemps voire depuis toujours ... comme tout le monde...
Mais à chaque stress, sa signature, à chaque stressé sa réaction, aussi personnaliser son stress, s'accommoder avec son stress est-il un passage inévitable pour gérer sa propre vie et sa propre survie.
Au cours de l'année 2003, j'ai eu une formation sur "la gestion du stress" dans le milieu du travail hospitalier, lors de la période où l'attention générale commençait à se focaliser sur "l'angoisse du soignant face à l'angoisse du soigné et de sa famille"
Lire : http://www.sf-gestiondustress.com
Ce fut le déclic pour moi de savoir que parmi tous les adjectifs attribués au mot STRESS : le stress est un fléau, le stress est négatif, péjoratif, le stress est destructeur, le stress est souffrance... maladie... mal-être... et bien d'autres...
J'ai retenu que le principal caractéristique du stress est son ambivalence : le bon et le mauvais.
Tout est question d'interprétation !Tout est question de dosage!
Un bon stress peut mobiliser une énergie en continu pour relever un défi par exemple mais combien fragile car une fois l'objectif atteint, il est difficile de redescendre de niveau!
Un mauvais stress , par contre, peut faire progresser, grâce à une remise en question face à un échec, voire une agression dévalorisante.
La difficulté réside dans la façon de faire face... (situation difficile) de résoudre... ( conflit) ou de surmonter... (épreuve)
Et puis en 2005, j'ai eu à présenter un Travail de fin d'études qui m'a permis de revoir et d'approfondir ce STRESS au TRAVAIL qui est devenu un sujet de mode, d'actualité et surtout de préoccupation internationale!
Lire : http://www.capital-sante.fr
A travers ce parcours plutôt théorique de mon problème, je me suis retrouvée en train de me ré-approprier ce sujet de prédilection car le destin ne peut être autrement.
Le film de ma vie ne cesse de me renvoyer vers l'image que ce mot STRESS dessine au quotidien dans mon espace vital , dans mon monde réel, mais aussi dans mon monde mythique!
Lire : http://www.accomplissement-de-soi.org
D'où mon besoin, ma soif perpétuelle de "Zénitude" mon combat dans la recherche d'un havre de paix personnel, dans le développement de soi, dans la réalisation de soi.
C'est pour cela que l'histoire du STRESS a eu un début pour moi, et la fin? ... l'avenir nous le dira
Lire : http://www.gerersonstress.org
Le stress , le flou total, la couleur de la nuit, la brume, le vide, l'incertitude du lendemain, le fugace, l'éphémère ... mais visez la lumière, le soleil qui va revenir ... le médecin de tous les maux !
Le stress , le flou total, la couleur de la nuit, la brume, le vide, l'incertitude du lendemain, le fugace, l'éphémère ... mais visez la lumière, le soleil qui va revenir ... le médecin de tous les maux !
 LE JOUR DE MON MALHEUR !
Comment oublier ce jour -là ?
Le contexte
:Cela fait trois mois que j'ai quitté mon foyer, ma famille, mon pays pour une formation approfondie de mes connaissances dans le but d'acquérir une carrière valorisante, prometteuse. Le projet était approuvé, débattu par mon couple, car la séparation sera plus ou moins difficile surtout avec mes deux enfants en bas âge. Ce n'est pas la première fois mais celle-ci sera plus longue...
Les adieux furent difficiles !
Et ce jour arriva !
Comme chaque vendredi matin, tout le monde est installé dans la salle, j'étais concentrée sur le programme du jour : "interprétation des clichés de tomodensitométrie du thorax de nos patients souffrant de cancers pulmonaires"
L'équipe multidisciplinaire composée de pneumologues, de chirurgiens, de radiologues de différents services était en effervescence, quand soudain, la porte s'ouvrit ! et la personne a crié mon nom! -"un appel pour vous ! -"de très loin!"
Mon coeur se glaça, un instant, avec un mauvais pressentiment et je me levai de mon siège, déjà anéantie.
Alors, j'entendis au bout du fil une voix rauque, presque inaudible, une voix qui appelait "au secours" Une voix qui portait l'angoisse, la peur, qui ne fit qu'augmenter la tension dans mes veines, dans ma tête: " Qu'est-ce qui se passe ?
Et j'entendis : "il respire mal ! il s'étouffe, vite dis-moi ce qu'il faut faire !" Je m'entendis répondre , par réflexe : " emmène-le tout de suite aux Urgences! tout de suite, à l"hôpital sans attendre! et puis ... le silence!
Je posais l'appareil, puis je suis là, en larmes, me sentant impuissante, sans défenses sans armes, effondrée, paralysée jusqu'à ce que l'on me demande :" - mauvaise nouvelle ? " Inconsciemment, j'ai pu énoncer par bribes : "mon mari... en réanimation... grave"
Trois mots qui disaient tout car tout de suite , on m'apporta un verre d'eau fraîche, on me soutenait les bras, on me fait asseoir et je suis restée là , inerte sans réaction, sans pouvoir m'accrocher au moment présent.
Mes pensées étaient ailleurs loin.. très loin... à des milliers kilomètres !
Mes yeux étaient aveuglés par les larmes... "-Mon Dieu, va-t-il s'en sortir? Où sont mes deux enfants? en ce moment même? Que dois-je faire ?
Et je ne sus pas comment j'ai eu la force de monter dans le service, de faire mon travail , comme un somnambule
puis vers la fin de la matinée, je me suis retrouvée toute seule, envahie par un immense désespoir, impuissante, anéantie...et surtout seule ... comme par hasard !
Et puis, dans cette phase de torpeur, d'anesthésie incontrôlable, une main, une voix, une présence, un ange personnifié : elle était là ! devant moi, penchée, me
s
ecouant doucement ! -'eh! mais que fais-tu toute seule ? il faut que tu réagisses ! -" viens, nous allons voir comment faire pour que tu puisses être fixée! appelons directement l'hôpital !"
Et nous voilà en train de regarder les annuaires internationales, plutôt "elle", mon sauveur qui a regardé!
Comme une automate, je cherchai à joindre le chef de service de Réanimation" Comme une automate, je l'entendis me répondre " -nous sommes en pleine action avec le défibrillateur " et là , tout mon espoir s'effondra "et je criai de tout mon être : "non!non! non! ce n'est pas possible, il est fort, il est jeune encore, il va lutter et gagner!
Mais pour me calmer sûrement, la voix masculine me demanda de rappeler dans un moment et raccrocha!
Ce furent les minutes d'attente les plus dures, les plus effroyables de ma vie! la force du stress, la violence du stress dans toute sa splendeur!
Le doute, la peur, le chagrin, l'angoisse, le gouffre, le néant, la nuit noire! l'abîme profond! que sais-je ? mais cette douleur de l'âme qui envahit le corps puis le submerge est le plus dévastateur des malheurs!
Je tourne en rond dans la pièce, je marmonne, je pleure, je gémis, je ne sais plus où me donner de la tête
Je prends la communication : ça y est , vlan! la gifle! la douche glaciale, le souffle maléfique du malheur est rentré dans chaque pore, dans chaque muscle de mon corps.
La mort! cette mystérieuse et inéluctable adversaire de la vie est venue frapper encore à ma porte!
"Mon mari est mort! c'est le seul écho qui me restait de cette tumultueuse bataille !
Et puis soudain, encore un cri ! "et mes enfants? où sont-ils en ce moment -même ? je les imaginai avec leur désarroi, leur désespoir, pire encore, ils devaient souffrir sans le savoir, dans leur coeur d'enfant, le brusque sentiment du vide, de l'abandon! Rien que cette pensée de plus m'était insupportable! Je me suis effondrée comme si l'on m'avait dépouillée de toute résistance, de tout entendement!
Je ne le savais pas encore... mais la mort d'un conjoint est la dose maximale de stress à l'échelle décrite par Holmes TH et Rahe RH ( 1967)
Lire :
http://sante-guerir.notrefamille.com
" Mon stress à moi" a démontré encore sa puissance créant le choc émotionnel par excellence, capable d'annihiler toutes mes ressources en un rien de temps!
La perte de l'espoir de toute une famille ! la chute d'un pilier! le constat terrible de notre impuissance face à l'incompréhensible arme du destin, au mystérieux instrument qui fauche tout à son passage, sans préavis, le ressassement, le questionnement : pourquoi? pourquoi?
Toute cette flopée de sensations de douleur, de révolte, de colère, de résignation, de lassitude, ces phases inéluctables du deuil, vous ne pouvez pas imaginer à quel point un être humain, c'est à dire moi, puisse s'en sortir.
Il y a toujours des remèdes mais ce moment fatidique est arrivé, je l'ai vécu et personne d'autre,la blessure est faite, à la seconde même et pour toute la vie!
QUE FAIRE contre ce stress?
Une solution parmi tant d'autres: Lire : http://go.nenufaraj.krystov.2.1tpe.net La mienne? Tout naturellement, la bataille, la lutte pour que cette graine qui est enfoncée dans la terre puisse un jour rejaillir de la surface et déployer ses bienfaits pour la nature ! La résilience ! http://www.redpsy.com/infopsy/résilience.html
La vie a repris son cours, avec son panier de peines et de joies !
allez dans :http://go.nenufaraj.dineafon.1.1tpe.net
 LE POIDS DU CHAGRIN !
Hélas, ce n'est pas fini, la liste est longue ! Cette fois encore, il s'agit pour moi de faire ressurgir le questionnement incessant : pourquoi? pourquoi?
Le contexte :
J'attends mon deuxième enfant, un bébé de 4kg environ à la naissance, avec une césarienne programmée au bout. Le jour est arrivé!
LES MOMENTS DU CALVAIRE
Le travail fût long, prévu difficile avec ses séries de spasmes douloureux, entrecoupés de phases d'accalmie. La césarienne est en cours de préparation.
La poche des eaux vient de se rompre ! Il faut faire vite!
Le médecin arrive... -"vite ! en salle d'accouchement! pas de décision de césarienne, vous êtes courageuse et robuste!
-"Tout va bien se passer! "
J'étais mise en confiance, malgré la hantise de ne pas pouvoir assumer avec la fatigue générale aidant!
Je me suis préparée psychologiquement à l'opération césarienne en sachant que le bébé était "quand même gros"
Je me suis retrouvée dans une pièce et tout se passa dans une ambiance de tension, d'inquiétude au fur et à mesure que le travail ne progresse pas comme il faut : le bébé à une grosse tête!
Alors une série de gestes incalculables d'agression et de traumatisme physique, s'enchaîna et après la cinquième tentative du vacuum extractor, mon bébé sortit, sans cris, arraché à mon corps tout meurtri, enregistrant ce moment comme dans un brouillard...
Puis j'entendis à côté un cri très faible .
"Merci mon Dieu, mon bébé est vivant!"
Et je pleurai à chaudes larmes.
En vérité , je ne le reverrai plus , mon bébé!
Ce jour-là fut le commencement du pouvoir implacable du stress ! Je ne savais pas encore qu'il était en train d'inaugurer sa saga dans ma vie, son entrée insidieuse ou plutôt le marquage de son territoire dans ma vie!
Comment m'en suis-je sortie encore?
Grâce à mon entourage!
Nos chagrins et nos peines sont nos lots quotidiens mais l'amour de nos proches est une des armes redoutables ainsi que le cortège de bienfaits que ce remède magique nous accorde comme des rayons de soleil qui réchauffent jusqu'au fin fond de notre coeur aussi brisé, aussi malmené soit-il !
Il y a par exemple les fleurs qui sont là pour nous envoyer leurs doux messages http://www.cartes-virtuelles-passion-des-fleurs.com
 LES ADIEUX QUI FONT MAL!
Nous connaissons tous la fameuse cérémonie des adieux :
Adieu Monsieur le Professeur,
on ne vous oubliera jamais!
et tout au fond de notre coeur
ces mots sont écrits à la craie
nous vous portons ces quelques fleurs
pour dire combien on vous aimait
on ne vous oubliera jamais
Adieu Monsieur le Professeur!"
Refrain de la chanson de Hugues Aufray !
Moi j'ai toujours pleuré avec cette chanson
, mais imaginez une scène d'adieux entre une mère et ses enfants : je l'ai vécu et comment!
Le contexte : J'avais quinze jours pour gérer le flot de démarches après le décès de mon mari. Je devais rejoindre mon poste pour un an !voire plus ! Mes enfants ( ma fille de 4 ans et mon fils de 8 ans) étaient en de bonnes mains avec mes parents qui viendraient habiter chez moi ne pas perturber leur cadre de vie. Dans le même immeuble habitait aussi ma belle-famille. Ma belle-mère, très présente,veillait aussi aux grains.
J'étais rassurée de leur protection, de leur confort , malgré l'effet dévastateur de cet épisode qui allait changer complètement le cours de notre vie!
J'aurai aimé être à la place de mes enfants à ce moment -même du deuil pour habiter leur coeur, pour sonder la profondeur de leurs chagrins et pour pouvoir emporter et exorciser ceux-ci. Mais non!
"Je dois partir!" l'écho de ces mots résonnait en moi comme l'effet d'une vague tumultueuse ! Le stress faisait insidieusement son chemin, creusait sa galerie en profondeur, quasi invisible!...
Ce fut le jour des adieux!
"Je suis à l'aéroport, à l'approche du moment d'embarquement, derrière cette porte qui va nous séparer des visages des êtres chers!"
Je vis le visage de ma fille se figer, comme si elle réalisa soudain la gravité du moment! elle me regarda avec ses yeux pleins d'innocence, elle s'est blottie dans les bras de mon frère, comme perdue!
Ce spectacle, je l'ai saisi avec une immense douleur, une vague de piqûres envahissait mon coeur. J'aurai voulu arrêter le temps... Mon Dieu , quelle souffrance terrible!
Ses yeux se rivaient aux miens, puis se détournaient comme pour masquer son chagrin, pour ne pas montrer son désarroi, pour se replier en elle-même comme ferait un foetus dans le ventre de sa maman pour se protéger du coup!
Ce langage silencieux m'a paru le plus dur moment que j'ai partagé avec ma fille!
Des larmes me viennent aux yeux, en délivrant ces mots car tout cela me pèse ! beaucoup !
ET mon fils! il est là accroché à ma jupe! jusqu'au dernier moment! Je lui caressai la tête! je lui triturai les mains, j'aurai voulu qu'il fasse partie de moi -même !
" je lui souriai tendrement! -" viens je te mettrai dans ma valise! " Il me répondit également par un sourire : "tu es folle maman! je vais m'étouffer là-dedans" Mon fils qui se donna encore le courage de me divertir!
Je savais consciemment que mes enfants allaient endurer les plus durs moments de leur existence encore si jeune et si fraîche ! Je ne pouvais même pas mesurer l'intensité des dégâts de "ce double abandon" dans leur corps et dans leur âme! je l'imaginai tout simplement immensurable! à l'infini!
Et voilà, je suçai un à un le pouce de mes enfants ! et je suis partie! ... pour un bon moment! .... avec des larmes de détresse! loin d'imaginer que d'autres épreuves m'attendaient encore et encore... Maintenant Cliquez dans ces liens : cela m'a beaucoup aidé Je suis épuisé, pas fatigué">http://www.virtuelexpress.com/affiliates/jrox.php?id=3055_3_tlid_225">Je suis épuisé, pas fatigué
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 ALLO ! AU SUIVANT!
Gérer le stress est un pari vital.
Quel que soit le problématique, quelle que soit sa nature, physique ou psychique, quel que soit le temps (présent-futur), quel que soit le lieu (environnement) l'enjeu est de trouver le juste milieu, le juste équilibre entre la survie(instinct naturel) et le besoin de se réaliser pleinement(réaction, révolte, projet, réussite, bien-être)
En fait, la difficulté est de trouver les ressources suffisantes, adaptées, accessibles.
Encore plus, il s'agit de conscientiser nos ressources intérieures qui dorment et qui doivent être extériorisées et rendues conscientes. Est-ce compliqué tout cela? Comment faire ?
Pour notre propre gouverne, il faut lâcher prise c'est à dire rompre la barrière entre les richesses inconscientes et les ressources conscientes que nous avons
Si nous ne pouvons pas les dénicher, il faut une relation d'aide et /ou thérapeutique, quelque soit les techniques, les écoles ou les praticiens
Lire : http://www.sante-guerir-notrefamille.com
Tout cela pour vous dire et témoigner de l'importance de ce capital ressources intérieures pour affronter comme moi "mon prochain stress"
Le contexte
: ça y est ! Je suis heureuse car maintenant tous les trois nous sommes de nouveau réunis,mes enfants et moi ensemble pour toujours! Plus de conversations téléphoniques à distance, plus de monologues, plus de contraintes de l'éloignement!
Quand un jour! UN COUP DE FIL !
-"allo , Vous devez passer une consultation en urgence, par rapport au dernier bilan que vous avez fait! merci!" Le lendemain, un courrier de confirmation : allons bon! sérieux mais pas grave! PUIS .... le verdict : " malade? spécialiste? traitement long? chirurgie? etc... Toute une liste de mots qui tombent comme l'effet d'un couperet sur mon corps! Une série d'examens approfondis, une série d'hospitalisations ... De nouveau, le cercle familial se disloquait. Le coeur est gros, le mental à fleur de peau! Le questionnement revient : pourquoi? pourquoi? les soucis financiers, domestiques ... n'en parlons pas! Les trois points de suspension sont tellement présents, tellement parlants, tellement stressants! Alors que j'entends: - vous savez, il s'agit là d'un probable cumul de stress enregistré par votre corps qui imprime tout et change de code ...négativement!
Alors je vois devant mes yeux se défiler les jours... les mois... les années ....les peines plus que les joies, la nuit plutôt que le jour ! bref, "IL "est bien là , IL n'est jamais loin,, IL s'installe sans y sans être invité, de nouveau dans ma vie! Le deuil, la perte, la séparation, l'éloignement...et puis quoi encore?????
Lire : http://www.passeportsante.net
Je suis passée par toutes les manifestations déplaisantes! J'ai appris dans mes recherches qu'une maladie grave entraîne une sécrétion accrue "
du neuropeptide Y"
qui bloque la réponse des cellules de défenses de l'organisme (les cellules TH1 qui ont pour rôle de détruire les agents pathogènes)
De toutes les façons, le stress a choisi de faire corps avec moi! le stress, c'est moi! dans tous les sens du terme!
Cette fois-ci encore, la vie a été plus forte que la mort et la maladie!
La vérité : "combattre le stress" est un travail de longue haleine! Ce combat est avec moi-même ! l'important , l'essentiel c'est de le gagner! allez dans :http://go.nenufaraj.dineafon.1.1tpe.net
une méduse illustre la décharge de stress et de douleur : gare à celui ou celle qui la croise!
une méduse illustre la décharge de stress et de douleur : gare à celui ou celle qui la croise!
 LA BONNE DECISION !
Une situation stressante parmi tant d'autres m'est arrivée quand il a fallu assumer la solitude , la maladie, les obligations familiales et matérielles . Comment s'en sortir et à quel prix ! Le contexte Cela fait une semaine que mes enfants sont de nouveau avec moi et cela fait une semaine que je savais que ma maladie avait évolué insidieusement et qu'il fallait agir vite pour le pronostic. Une longue démarche thérapeutique est envisagée pour au moins six mois y compris la convalescence! comment réagir face à ces nouveaux artefacts de la vie? la joie des retrouvailles est vite escamotée par toutes les craintes d'une mère désemparée : qui s'occupera des enfants en mon absence ? que diront-ils pour ce nouveau cycle brutal de séparation physique ? Rien qu'avec ces deux facteurs émotionnels, le stress a de nouveau gagné la partie ! Par ailleurs, j'ai pris la décision de quitter le poste que j'avais dans le monde médical pour pouvoir consacrer du temps à mes enfants.
Tous ces changements de vie, de statut, de situation ne peuvent qu'alimenter le lit du Superstress ! Qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi? En ce moment même , parler de ce que je ressens,de mes peines, de mes peurs, devient plus facile, mais en vérité :
QUE FAIRE DE NOS EMOTIONS ?
je me suis inspirée de plusieurs auteurs en lisant Psychologie.com
A LIRE : "N'ayons plus peur de nos émotions : apprendre à comprendre les réactions défensives " de Violaine Gelly ( janvier 2009)
"Comprendre les émotions"de PaulaM. Niedenthal,Sylvia Krauth Gruberet françois Ric (Mardaga 2008) : il s'agit d'une étude scientifique qui répond " à quoi servent les émotions et comment elles surviennent et nous lient les uns aux autres.
A CONSULTER :
Dossier "croire en soi et en l'avenir": pouvoir transformer nos peurs en forces" Dossier "Nos émotions : les contrôler ou les exprimer"dans http://www.psychologies.com voir onglet "MOI" rubrique "Se connaître" puis "Emotions" Comment écouter, exprimer, apaiser nos émotions. Comment les utiliser à bon escient? Est -ce une affaire d'intelligence qui s'apprend ? Il faut dire que nous , êtres humains, nous avons la chance de pouvoir trouver le juste milieu entre une émotivité débordante et l'hypercontrôle de soi.
LES SIX EMOTIONS PRIMAIRES
Selon le naturaliste anglais Charles Darwi, il y a la joie, la colère, la tristesse, la peur, la surprise, le dégoût comme émotions primaires . Pour qu'une émotion soit primaire, celle-ci doit être universelle, reconnaissable au premier coup d'oeil, ponctuelle et entraîner des répercussions physiologiques ( le coeur qui bat de plus en plus vite, les joues rougissent, les muscles sont tendus ou relâchés. Par ailleurs, elles sont présentes chez nos cousins les grands singes. L'AMOUR ne figure pas dans la liste car il ne se traduit pas extérieurement par une mimique , d'où la question rituelle "est-ce que tu m'aimes ? Certains auteurs ajoutent à liste la honte, la culpabilité, le bonheur, la fierté, qui s'accompagnent d'expressions faciales caractéristiques
LA SEULE EMOTION PRIMAIRE POSITIVE : LA JOIE
La joie est le premier pas vers le bonheur, ce sentiment de plénitude qui donne des ailes, l'envie de chanter,de danser, d'embrasser. Elle exprime la vitalité. Elle ne se confond pas avec l'optimisme qui rejette le tragique de l'existence Alors que la joie prend tout jusqu'à la douleur , au sentiment d'injustice . c'est pourquoi, elle envahit l'esprit et le corps dans sa plénitude. ON s'extasie devant un paysage, en entendant une mélodie mais cet état de jubilation se conquiert par l'effort. L'effort de connaissance, de compréhension du monde, de l'homme de ses semblables conduit à l'amour, à la compassion. L'amour et le joie se côtoient ou se confondent pour cultiver la capacité de rester en éveil , d'apprendre à vraiment voir et à vraiment entendre: La joie ne peut s'éclater que dans la conscience de nos liens aux autres et au monde:"se sentir vivant parmi du vivant" A CONSULTER dans http://www.psychologies.comDossier: savoir ce qui nous rend vraiment heureux"(octobre 2007)
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